Portrait de Jean Calembert

Toute cette aventure n'aurait jamais vu le jour si Jean Calembert, le jour de ses 77 ans n'avait eu une inspiration aussi soudaine qu'inattendue, écrire un roman. Il y pensait depuis sa jeunesse mais n'avait jamais mis ce projet en œuvre. Guru marketing, il avait parcouru le monde avec passion en s'accordant quelque répit en famille, sur son vélo ou en s'adonnant à la photo et en peignant des tableaux... mais il n'avait jamais écrit de roman ou de nouvelle.

Maintenant, en parallèle avec un hédonisme tranquille, il entame une seconde vie grâce à l'écriture.

Dans Joe Hartfield, il s'est fait plaisir. Il a laissé libre cours à son imagination, à sa créativité et à son improvisation dans une saga foisonnante étalée sur plus de soixante ans. Pour raconter autant de destinées croisées sur autant d'années, il s'est imposé une seule contrainte : une architecture digne de ce nom. Un beau voyage dans le temps et l'espace. Un hymne à l'amitié. Une fresque au souffle romanesque.

Transcendé par l'enthousiasme de ses premiers lecteurs et les encouragements d'une poignée de journalistes et d'écrivains, il s'est lancé un nouveau formidable défi avec Le Mal-Aimé. Avec délectation. Tout d'abord, il a allégrement ignoré la croyance selon laquelle une malédiction pèserait sur un second roman ! Ensuite, il s'est fixé trois règles simples: moins de personnages, un univers temps plus court et une histoire toute simple enrichie par un mystère qui tienne les lecteurs en haleine jusqu'à la fin. Et puis, il travaillé, énormément travaillé.

A vous de juger du résultat ...

“ Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. ”

Stendhal , Le Rouge et le Noir